mai 98, saisi par Grégoire |
Le père et la mère d'Alain vont divorcer, ils le laissent chez pépé. Ernest : Divorcer mais tu n'y penses pas, ah non ! Moi je suis contre. Kévin : Eh bien ! Quoi
qu'il en soit, je te laisse le petit. Nous devons aller à Paris,
elle comme moi voulons un divorce bien senti !
Laura : Eh bien ! Quoi qu'il en soit,
je te laisse le petit. Nous devons aller à Paris,
lui comme moi voulons un divorce bien senti !
Laura et Kévin : Non! Alain : (Allant dans sa chambre)
Ernest : Pauvre enfant ! Puisque c'est comme cela le petit reste chez moi jusqu'à ce qu'il ait oublié cet affront ! Alain : (Dans sa chambre)
Laura et Kévin : Eh bien pas moi ! Le petit reste avec moi ! Ernest : Avant cela arrêtez de parler comme ça ! J'ai mal aux oreilles ! Claudine : Ca va mon chéri ! Ernest : Oui! Vous à la porte,
j'ai peut être 80 ans mais j'ai encore du punch !
Alain : Je te remercie Grand-père,
j'en avais ras le bol de leurs disputes.
Grand-père a une astuce pour qu'Alain convainque
Ernest : Faut t'apprendre les bonnes
manières mon p'tit gars !
Ernest : Mais non c'est pas comme ça qu'l'on parle. Alain : Grand-père ! Mais je parle bien ! Ernest : Mais non, c'est comme lace qu'on arple ! Alain : K.O. pépé Ernest : (reprenant ses habitudes)
Alain : Mais Grand-père,c'est pas com'ça qu'on parle ? Claudine : (Un plat à
la main sortant de la cuisine)
Ernest : Ca c'est nieb vrai ! Alain : Grand-père tu parles encore en verlan ! Ernest : Mais non ,ça c'est le langage des grands ! Claudine : Quand vous aurez fini vos clowneries vous viendrez à table ! Alain : (En courant car
il meurt de faim)
Ernest : (Le retenant)
Alain : Mais, je me les suis lavées il y a un mois ! Le minimum. Ernest : J'te comprend, moi gamin, je me les lavais tous les ans ! Mais va te les laver. Alain : (se lavant les mains)
Claudine : Vous venez où quoi
?
Ernest : On dit : c'est succulent !
Alain : (L'ignorant)
Ernest : On dit... Alain : (Ne le laissant pas
achever)
Ernest : On vient avec toi ! Alain : (Comprenant la combine
de son Grand-père)
Arrivés à paris ils vont à l'hôtel
de ville.
Alain : (descendant du taxi)
Ernest : Oui ! Alain : Allez on y va.
Laura : C'est bon! On n'est pas à un mariage ! Toi et tes grands airs ! Alain : (Arrivant dans la pièce)
Laura : Oui on a compris la leçon,
on rentre chez nous et on ne se séparera plus!
un mois plus tard chez grand-père et grand-mère Alain : C'est super bon le riz ! Ernest : On dit... Alain : Grand-père arrête
avec ça !
Maman : As-tu fait tes devoirs ? Rose : Non maman...mais... Maman : Il n'y a pas de mais qui compte, vas faire tes devoirs sans discuter ! Rose : J'en ai marre, mamie elle est plus gentille; je vais lui téléphoner! Allô! Mamie, c'est moi, Rose, est-ce que je pourrai venir chez toi en Bretagne? Mamie : Va faire tes bagages mon poussin,
je vais prévenir ta mère mais au fait,
Mamie : Allô, Rosalie, je voudrais te prévenir que j'ai téléphoné à ta fille pour qu'elle vienne une semaine chez moi en Bretagne. Mais au fait es-tu d 'accord ? Maman : Oui, d'accord je te téléphonerais tous les jours pour savoir s'il lui manque quelque chose. Mais au fait je la dépose à la gare à quelle heure? Mamie : Tu la déposes à la gare à 11h30. A tout à l'heure ! Maman : Rose dépêche toi il est déjà 11h00 ! Rose : J'arrive maman !
Rose et la maman sont en voiture sur le parking de la gare.
Mamie : Oh comme tu as grandi mon poussin, j'ai un petit cadeau pour toi ! tiens ! Rose : Qu'est-ce que c'est ! qu'est-ce que c'est ! Maman : Sois patiente, sinon tu ne vas pas chez mamie! Mamie : Mais laisse-la la pauvre ! Rose : Il serait temps d'y aller. Maman : Au revoir ma chérie et ne fait pas de bêtises!
Rose : Qu'est-ce qu'on mange ? Mamie : Du riz et du saumon frais. Rose : Miam-miam.
La semaine s'écoule,5 jours plus tard, la mère téléphone.
Maman : Allô maman, je vais venir
chercher Rose dans 3 heures chez toi.
La mère arrive en Bretagne chercher Rose et repart à
la maison.
|