mai 98, saisi par Grégoire

retourner au menu de la classe 
 
 

retourner à Victor Schoelcher et l'abolition de l'esclavage 
nos poèmes  
  
L’esclavage 

Etre obligé de travailler 
Se faire tuer 
Chaînes attachées serrées 
Les pleurs comment s’en séparer 
Alors oser en parler 
Vivre en étant maltraité 
Et ne pas avoir à manger 
Servitude, à quoi ça sert de travailler 
 L’esclavage 


Je me fais fouetter 
Je pleure et crie 
Moi je suis enchaîné 
Maltraité pour toujours 
Pendant que d’autres 
Sont heureux dans leur maison 
Reçoivent beaucoup de cadeaux 
Pendant que je reçois des coups de fouet 
Je survivrai ou bien mourrai 
J’ai survécu grâce à un héros 
Qui est apparu devant nous, 
Ce héros s’appelait Victor Scholcher 
Il nous a tous sauvés 
Scholcher m’a emmené chez mes parents 
Je les ai revus 
Et je suis redevenu heureux. 


 Le malheur de l’esclavage 
  

Je suis un esclave 
Enfermé dans une cave 
Fouetté qui travaille 

A longueur de journée 
Une bien longue histoire  
J’étais en famille 

Lorsqu’on m’a enlevé 
Puis acheté au marché 
On m’a exploité 

J’ai appris que mon ami 
Est décédé j’étais triste 
Et je pensais que moi aussi 

Ca allait bientôt m’arriver 
Mais dans mes pensées 
Je préférais mourir que travailler ! 



  
L’abolition de l’esclavage 

Je suis un esclave 
Battu, fouetté, 
Maltraité, enchaîné. 

Je dors dans une cabane 
Que j’ai fabriqué, 
J’dors sur de la paille. 
Mon déjeuner est: 
Du pain dur, du lait. 

Mon travail est de : 
Fabriquer des ballons, 
Des belles chaussures 
Et des beaux tapis. 
Je suis fouetté 
Si c’est mal fait. 

Le dîner du soir est: 
La soupe, du pain dur. 

C’est dur d’être esclave! 


 L’esclavage 

Je suis à la campagne. 
Je mène une vie bien heureuse 
Mais un jour des hommes ont débarqué 
Il m’ont  emmené chez eux, 
Là bas il y avait plein de gens 
Mais ils vivaient dans la tristesse 
Il y avait beaucoup de personnes blessées 
Elles étaient toutes maltraitées 
A aucun moment maltraitance rimera avec dimanche 


 L’esclavage maudit 

Je suis ici et ils sont là,  
Ils sont là-bas et moi aussi. 
Les hommes me virent,  
Et me prirent. 
En esclave, ils me réduisirent. 
Cultivant leurs épis, 
Dans une belle île. 
A cause d’un roi qui envoya, 
Colons en Martinique ! 
Je suis humilié, 
 Pour toute ma vie ! 
Elle est si courte la vie. 
En profiter,  
Je ne pourrais peut-être pas ! 
Car un cas comme celui-ci, 
Ne se guérit pas, 
Peut-être qu’un jour, 
Je retrouverais, 
Ce bonheur, 
A jamais perdu pour la vie. 
 Un jour de Noël, des hommes m’ont enlevé ! 
Le lendemain matin, je m’aperçus que j’étais devenu un " esclave" 
Un homme riche m’avait acheté. 
J’étais fouetté, attaché à des chaînes. 
Je n’étais plus libre 
J’étais devenu un esclave. 

Chaque matin, je rêvais d’être dans ma famille, tranquille et au chaud 
Un jour, on m’a dit que je serais payé ! 
On ne m’a rien donné, sauf un morceau de pain pour survivre. 

Je n’oublierais jamais cette enfance d’esclave 
Je souhaite pour tous les enfants de la terre, la liberté ! 
Je souhaite que le soleil brille pour tous ! et que le bonheur jaillisse ! 
L’esclavage, sous toutes ses formes doit disparaître à jamais. 
  

retour en haut de la page