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nos poèmes
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L’esclavage
Etre obligé de travailler
Se faire tuer
Chaînes attachées serrées
Les pleurs comment s’en séparer
Alors oser en parler
Vivre en étant maltraité
Et ne pas avoir à manger
Servitude, à quoi ça sert de travailler
L’esclavage
Je me fais fouetter
Je pleure et crie
Moi je suis enchaîné
Maltraité pour toujours
Pendant que d’autres
Sont heureux dans leur maison
Reçoivent beaucoup de cadeaux
Pendant que je reçois des coups de fouet
Je survivrai ou bien mourrai
J’ai survécu grâce à un héros
Qui est apparu devant nous,
Ce héros s’appelait Victor Scholcher
Il nous a tous sauvés
Scholcher m’a emmené chez mes parents
Je les ai revus
Et je suis redevenu heureux.
Le malheur de l’esclavage
Je suis un esclave
Enfermé dans une cave
Fouetté qui travaille
A longueur de journée
Une bien longue histoire
J’étais en famille
Lorsqu’on m’a enlevé
Puis acheté au marché
On m’a exploité
J’ai appris que mon ami
Est décédé j’étais triste
Et je pensais que moi aussi
Ca allait bientôt m’arriver
Mais dans mes pensées
Je préférais mourir que travailler !
L’abolition de l’esclavage
Je suis un esclave
Battu, fouetté,
Maltraité, enchaîné.
Je dors dans une cabane
Que j’ai fabriqué,
J’dors sur de la paille.
Mon déjeuner est:
Du pain dur, du lait.
Mon travail est de :
Fabriquer des ballons,
Des belles chaussures
Et des beaux tapis.
Je suis fouetté
Si c’est mal fait.
Le dîner du soir est:
La soupe, du pain dur.
C’est dur d’être esclave!
L’esclavage
Je suis à la campagne.
Je mène une vie bien heureuse
Mais un jour des hommes ont débarqué
Il m’ont emmené chez eux,
Là bas il y avait plein de gens
Mais ils vivaient dans la tristesse
Il y avait beaucoup de personnes blessées
Elles étaient toutes maltraitées
A aucun moment maltraitance rimera avec dimanche
L’esclavage maudit
Je suis ici et ils sont là,
Ils sont là-bas et moi aussi.
Les hommes me virent,
Et me prirent.
En esclave, ils me réduisirent.
Cultivant leurs épis,
Dans une belle île.
A cause d’un roi qui envoya,
Colons en Martinique !
Je suis humilié,
Pour toute ma vie !
Elle est si courte la vie.
En profiter,
Je ne pourrais peut-être pas !
Car un cas comme celui-ci,
Ne se guérit pas,
Peut-être qu’un jour,
Je retrouverais,
Ce bonheur,
A jamais perdu pour la vie.
Un jour de Noël, des hommes m’ont enlevé !
Le lendemain matin, je m’aperçus que j’étais devenu
un " esclave"
Un homme riche m’avait acheté.
J’étais fouetté, attaché à des chaînes.
Je n’étais plus libre
J’étais devenu un esclave.
Chaque matin, je rêvais d’être dans ma famille, tranquille
et au chaud
Un jour, on m’a dit que je serais payé !
On ne m’a rien donné, sauf un morceau de pain pour survivre.
Je n’oublierais jamais cette enfance d’esclave
Je souhaite pour tous les enfants de la terre, la liberté
!
Je souhaite que le soleil brille pour tous ! et que le bonheur jaillisse
!
L’esclavage, sous toutes ses formes doit disparaître à
jamais.
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